Face à l’urgence climatique, encore plus d’huile de « Good »

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Face à l’urgence climatique, encore plus d’huile de « Good »

Il y a encore une dizaine d’années, autrement dit une éternité dans notre société frénétique, trop peu d’entreprises s’intéressaient réellement au RSE et au développement durable, certaines ne comprenaient même pas le réel sens de ces termes ni leurs enjeux sous-jacents. Aujourd’hui, un long chemin semble avoir été parcouru et des initiatives telles que le Grand Prix de la Good Economie sont justement là pour donner plus d’ampleur à des actions sociétales effectuées par des entreprises aussi conscientes qu’agissantes. Pour autant, face à l’urgence climatique, il est impératif de ne pas se reposer sur ces lauriers et de continuer à combattre le mal à la racine, avec l’éducation en ligne de mire.

Participer au réveil de la nouvelle génération 

L’ère du triangle de l’inaction doit s’achever : on ne peut plus fermer les yeux sur les bouleversements climatiques et environnementaux, rejeter la faute continuellement sur l’autre, ni minimiser le rôle de l’éducation dans la lutte pour un monde plus soutenable. Certes, les messages d’alerte se diffusent, les actions « coups de poing » (et polémiques) captent l’attention, les appels à l’aide planétaire pullulent sur les réseaux sociaux, mais le combat est loin d’être gagné auprès des plus jeunes. Comme le révèle une récente enquête, une bonne partie de la génération Alpha (née après 2010) admet mal connaître le sujet du climat. Pire : face à l’ampleur du chantier, cette « relève annoncée » baisserait finalement la garde et les bras, préférant à la combativité le déni, l’indifférence et le fatalisme. Un postulat que l’ISEG, en tant qu’école de marketing et de communication, ne peut cautionner.

Cultiver les valeurs par le message

Au même titre que les marques ont une responsabilité vis-à-vis des nouvelles attentes et habitudes qu’elles doivent susciter chez leurs clients, l’ISEG doit éduquer celles et ceux qui, demain, deviendront des professionnels, aussi bien en agences que chez l’annonceur. La crise environnementale étant de plus en plus prégnante, les communicants ont en effet un rôle clé à jouer dans la transformation écologique et sociale des entreprises et des marques. Ils sont devenus un rouage essentiel, un véritable rempart contre la résignation et le défaitisme.

Former des personnalités compétentes ET engagées

Les « professionnels des messages et de leur diffusion » contribuent à se projeter dans un futur optimiste attrayant et à raconter de nouveaux récits dans une société VUCA, où le changement est la seule chose qui ne change pas. Ainsi, au-delà du kit de base du marketeur et du bon communicant, l’ambition d’un établissement de l’enseignement supérieur comme l’ISEG est de faire de ses étudiants des personnalités capables d’initier, d’insuffler de nouvelles tendances qui auront un impact sociétal certain.

Faire pour mieux faire

Derrière ce vœu pieux, il faut du factuel, pas du factice. Concrètement, cette volonté se traduit de différentes façons :

  • Un MBA Marketing & Communication RSE, construit avec des spécialistes
  • L’intervention régulière d’acteurs du marketing et la communication responsables
  • L’instauration de partenariats solides avec des entités engagées
  • Des challenges et projets organisés tout au long du cursus intégrant une dimension RSE

Bref, en tant qu’école de marketing et de communication, l’ISEG prend sa part pour contribuer à un monde plus vertueux car plus responsable.

https://www.iseg.fr/

David Benguigui

ISEG – Directeur Communication & Marketing 360 – IONIS Education Group